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16ème LUNDI DES SANS-PAPIERS



à l’initiative du « Collectif 28 pour la Régularisation des Sans-Papiers »



CHARTRES    3   avril    2017    à    20 h.



« Le Petit Homme »



Un film de Sudabeh Mortezai



Présenté au festival de Berlin 2014







Résumé du film :  


   Ramasan, 11 ans, est la fierté de sa mère Aminat. C'est un gentil garçon qui s'occupe bien de ses deux sœurs et qui a le sens des responsabilités. Il a grandi très vite car son père est mort pendant la guerre en Tchétchénie. Depuis, la famille tente de trouver une nouvelle vie en Autriche. Leur univers est bouleversé quand Issa, qui dit avoir combattu avec son père, séduit Aminat. Il devient alors le nouveau chef de famille, une situation que Ramasan peine à accepter…




Après le film :



Dimitri Keltchewsky, éditeur des « Nouvelles de Tchétchénie », animera un débat et parlera de la situation en Tchétchénie et de celle des réfugiés tchétchènes.


Quelques avis sur le film




24.03.2015 - lemonde.fr - Noémie Luciani


Tourné dans le camp de réfugiés de Macondo, avec un dispositif très libre laissant la part belle à l’improvisation, Le Petit Homme se présente comme un film à la frontière, entre fiction et documentaire.



24.03.2015 – critikat.com - Ariane Beauvillard


Sans effets, sans lourdeur théorique, Le Petit Homme filme la déception de personnages qui, bien qu’installés et acceptés sur leur espace, sont en perpétuelle quête d’ailleurs.




19.03.2015 – avoir-alire.com - Arthur Champilou


Ce qui fait la force du Petit Homme, c’est justement le point de vue impartial de sa réalisatrice, qui, grâce à une distanciation assumée et maintenue, parvient à contourner les clichés et les a priori que l’on peut avoir sur les populations d’immigrés. Son film montre les choses telles qu’elles sont, les problèmes tels qu’ils surviennent et comment les personnages les surmontent.




24.03.2015 – libération.fr - Clément Ghys


 La beauté du film tient à sa simplicité, à cette histoire ténue au sein de laquelle un petit garçon va apprendre ce que c’est que d’être homme. Sous l’égide d’Issa, Ramasan va passer par tous les états d’admiration, d’idolâtrie ou de déception amère que l’on peut vivre, enfant, face à un adulte.