ENSEMBLE FORUM 28

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POLITIQUE


À l'occasion de la journée internationale de

lutte contre les violences faites aux femmes

À l’invitation du CIDFF 37 & 28

Pièce de théâtre

 "LA CAVE"
(par la Compagnie du Hasard)


24 Novembre à 9 h. et 12 h. (Mainvilliers)
25 Novembre à 14 h. et 16 h. (Chartres)


Entrée libre et gratuite

Attention! Places Limitées

Informations et programme au 02 47 27 54 00

Réservation au 02 47 27 54 00 ou via le lien :

https://goo.gl/forms/Bau6jTtHAkf97Z0H3


   Le 17 décembre 1999, par sa résolution 54/134, l'Assemblée générale a proclamé le 25 novembre Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, et a invité les gouvernements, les organisations internationales et les organisations non gouvernementales à organiser ce jour-là des activités conçues pour sensibiliser l'opinion au problème de la violence à l’égard des femmes.

   Depuis 1981, les défenseurs des droits des femmes organisaient chaque année, à cette date, une journée de lutte contre la violence sexiste à la mémoire des trois soeurs Patria, Minerva et María Tereza Mirabal, des opposantes politiques brutalement assassinées en République dominicaine, le 25 novembre 1960, sur les ordres du dirigeant de l'époque, Rafael Trujillo (1930-1961).

   L'Assemblée générale a adopté la Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes (A/RES/48/104) le 20 décembre 1993.


La pièce


     La Cave a été écrite à la suite d’une rencontre avec des femmes victimes de violences, accueillies au centre d’hébergement et de réinsertion sociale : l'Astrolabe, à Blois.


Ce qu’en dit l’auteur-metteur en scène


     Bruno Cadillon, l’auteur, écrit : « La violence conjugale est une spirale. Cette spirale est un cycle de crises et de lunes de miel, les lunes de miel devenant de plus en plus rares et brèves, et les crises de plus en plus violentes. Une spirale qui enferme victime et bourreau et dont il est extrêmement difficile de sortir. La fin peut en être la mort de l’un des protagonistes, quelquefois celui qui violente, mais presque toujours, celle ou celui qui subit. Cette violence dans son fonctionnement peut toucher toutes les classes sociales. Avec le personnage de Virginie, en dehors de sa nécessité dramatique, je voulais montrer également les dégâts collatéraux, les répercussions de cette folie sur l’entourage proche. La pièce est imaginée pour être jouée partout, à n’importe quelle heure et — c’est important — dans le public, au milieu de celui-ci. »

Pour lire et/ou télécharger le dossier de presse, cliquer ici

Séances organisées

par le

 Photos  Sylvie Jacquemin